Une rumeur persistante voudrait que les cadres des grandes entreprises technologiques privent leurs enfants d’écrans. En réalité, ils font face aux mêmes questionnements et hésitations que tous les autres parents.
« Greenwashing est un bon ouvrage pour nous déciller les yeux. Il nous rappelle combien tout est fait pour dépolitiser ces enjeux, pour repousser les problèmes, retarder les décisions et les changements, les noyer de chiffres, de faux problèmes et de fausses solutions cadrées sous un prisme uniquement économique qui ne valorisent que des réponses du et par le marché, dans des vocables régulièrement mis à jour pour relancer les mêmes questions sous un nouveau jour sans les faire progresser. Bref, pour faire illusion, tout en privilégiant le business as usual. »
« Le Greenwashing – comme le technosolutionnisme -, dépasse largement le champ de la communication d’entreprise, pour relever d’une tendance plus générale à “mal penser” les problématiques écologiques (ou techniques) de nos sociétés. L’un comme l’autre sont des moyens de nous enfermer dans des trajectoires socio-écologiques comme socio-techniques insoutenables. Ils reposent, l’un comme l’autre, sur une rhétorique faite de termes flous, d’euphémismes, pour faire passer des déclarations invérifiables ou de simples promesses comme des moyens pour remettre les actions concrètes à plus tard. »
Je me sens parfois un peu seul à dire que les vraies révolutions dans l’éducation sont pédagogiques et pas technologiques (désolé les Edtech), et que certaines de ces « révolutions » sont aussi vieilles que le monde. Alors je partage volontiers cette intervention de Frédéric Bardeau, le fondateur de Simplon, qui date de quelques mois. […]
La marque BlackBerry, sous licence depuis plusieurs années, devait revenir grâce à l’entreprise OnwardMobility, propriété de Foxconn. Finalement, le repreneur jette l’éponge.
L’OCDE conclut sur un impôt minimal mondial, mettant fin à quarante ans de dérégulation. Rendu possible par le revirement américain, l’accord est favorable aux Big Tech, même s’ils devront payer plus d’impôts.
La startup 50inTech lance « Wannabe a CPO » un bootcamp virtuel du 16 au 18 février pour aider les femmes qui travaillent dans la création produit et le Product Management à booster leur carrière. La raison ? Moins de 8 % des postes de direction en Europe sont occupés par des femmes. Pour Caroline Ramade, fondatrice de 50inTech et membre du comité des femmes françaises des Nations Unies, les produits du futur seront co-inventés par les hommes et les femmes sur un pied d’égalité.
Amazon devrait voir sa capitalisation bondir de plus 200 milliards de dollars ce vendredi 4 février, l’équivalent de la dégringolade, la veille, de Meta, maison mère de Facebook. Le marché atteint des niveaux de volatilité considérables et la tech en est la première victime, constate Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Meta’s stock prices plunged after the company reported that Apple’s privacy features would cost it billions this year. It’s not the only tech giant to take a hit.
A small search engine company in the Czech Republic helped inspire a law that is poised to put major limits on tech giants like Google.
BlackBerry is adding another sad chapter to the downfall of its smartphone business. Today, the company announced a sale of its prized patent portfolio for $600 million. The buyer is "Catapult IP Innovations Inc.," a new company BlackBerry describes as "a special purpose vehicle formed to acquire the BlackBerry patent assets."
The ongoing rivalry between small tech companies and the industry behemoths they rely on expanded Tuesday when over forty companies signed an open letter of support for The American Innovation and Choice Online Act. While some of the companies that signed have fought what they see as anti-competitive practices for years, others, like Y Combinator, are entering the fray for the first time.
We aren’t buying more smartphones. So how is this smartphone company making crazy money?
Il faut savoir que le système Linux est précurseur dans ce qui se fait aujourd’hui, la gestion des dépôts et des paquets. C’est un système équivalent sous Android ou sous iOS, un système qu’a voulu imposer Microsoft sans succès. Nous allons partir du système Windows pour comprendre.
Alors, que nous apportera 2022 ? Je ne vais pas couvrir tous les domaines et me contenter de ne traiter que l’univers de la tech avec quelques embardées ailleurs. Si la tendance 2021 se confirme, 2022 sera une belle année de “bullshit techs”, avec en premier lieu les NFT, le Web3 et les métavers. De vagues solutions en recherche de problèmes utiles à résoudre, qui sont au passage des gouffres à énergie sans nom. Je vais d’emblée jouer le boomer que je suis pour décalquer au mur ces tendances du moment. Nous sommes rentrés en plein Absurdistan tellement ces concepts sont foireux et nous éloignent du bon sens et, dans une certaine mesure, de notre humanité, pour ce qui est des métavers. Ils ont leur évidemment habituel lot de followers et il ne fait pas bon les contrarier. C’est l’art de rendre compliqué ce qui devrait être simple et de créer des contes de fées sans fées.
One proof of that victory is that it’s hard to define what “technology” even is. Tech is more like a coat of new paint on everything than a definable set of products or industries. Health care is tech. Entertainment is tech. Schools are tech. Money is tech. Transportation is tech. We live through tech.
Technology is also in a liminal phase where the promise of what might be coming next coexists with the complicated reality of what is happening now.
Growing tensions between Microsoft, Amazon, Alphabet, Meta, and Apple lie behind the death of the Internet Association (IA), the nine-year-old lobby group that was Big Tech’s voice in Washington, according to insiders and industry observers.
We all know who in tech is getting coal from policymakers. The question is, what do the good children of tech want for the holidays? And by children, we mean companies and nonprofits that aren’t squashing rivals, trying to monetize your eyeball twitches or paying for million-dollar lobbying bills with whatever change comes out when they sneeze.
Big Tech got bigger-er and stronger in 2021. The empires of technology also appeared more vulnerable than ever to the forces of regulation, competition, a complicated public mood and perhaps hubris.
Jack Dorsey, who is stepping down after six years as Twitter’s chief executive, is one of the tech leaders who seem to have grown tired of managing their empires.
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Jeff Bezos’ wanderlust led him to step down from Amazon this year and fulfill his childhood fantasy of going to space. Google’s founders, Larry Page and Sergey Brin, stepped down in 2019 and have since been investing in futuristic projects like airships and flying taxis. Mark Zuckerberg is still running Facebook, but it’s called Meta now, and the company’s big metaverse pivot seems to be designed in part to infuse some novelty and excitement back into a staid, big-company culture.