Depuis sa création en 2004, Facebook a fasciné toute une génération. Mais le premier grand succès des réseaux sociaux apparaît depuis "vieillot" voire "dépassé", même s'il continue d'attirer des millions d'utilisateurs fidèles.
Depuis le 30 octobre dernier, Meta impose aux internautes de choisir entre publicités ou abonnement payant pour accéder à Facebook ou à Instagram. "Les lois changent dans votre région", assure la firme de Mark Zuckerberg sans préciser de quelles lois elle parle. "Nous vous proposons donc un nouveau choix concernant la façon dont nous utilisons dont nous utilisons vos informations pour les publicités« . Et la question à 13 euros par mois de tomber : « Voulez-vous vous abonner, ou continuer à utiliser nos produits gratuitement avec des publicités ?« .
Le géant américain se voit reprocher le transfert de données d’Européens vers les États-Unis. L’amende est la plus lourde jamais imposée dans le cadre du droit européen sur les données.
Replay du documentaire de Julien Le Bot et Laurent Follea diffusé le 23/04 sur France 5, avec des interventions d'Olivier Ertzscheid, Fred Turner, Dominique Cardon, Max Schrems, danah boyd... L'émission "Le monde en face" qui a suivi vaut également d'être regardée.
Des publicités comportant des messages clairement faux sur les élections d’octobre ont été publiées par le réseau social, et ce, malgré de nombreux signaux qui auraient dû déclencher une alerte, dénonce l’ONG Global Witness.
En perte de vitesse dans les pays industrialisés, Facebook a investi l’Afrique, notamment en se rendant indispensable pour de nombreuses activités économiques. Mais cet intérêt du mastodonte numérique pour le continent prend appui sur un monopole qui menace les équilibres politiques et sociaux des pays africains.
Une plainte déposée par Daniel Motaung, un Sud-Africain ayant travaillé comme modérateur de contenus, décrit des conditions de travail « indignes » et des méthodes d’embauche trompeuses.
Dans des plaintes déposées auprès de la Commission australienne de la concurrence et de la consommation et du ministère américain de la Justice (DOJ), un groupe de dénonciateurs ayant travaillé pour ce qui était alors Facebook inc. (devenu Meta Platforms inc.) a déclaré que, lors d'un conflit avec l'Australie au sujet du contenu des actualités, l'entreprise a délibérément bloqué des sites Web liés au gouvernement, aux soins de santé et aux services d'urgence. Le groupe affirme que la société s'est livrée à "une conspiration criminelle pour obtenir une chose de valeur, à savoir un traitement réglementaire favorable".
Pour Carolina Milanesi, « les investisseurs croient en Mark Zuckerberg comme entrepreneur », mais « sa vision du métavers peut apparaître légèrement détachée de la réalité ». « En regardant sa vidéo, on pouvait se demander : “Est-ce cela que nous voulons ?” », dit-elle. Censé être une réponse aux questions existentielles de Meta sur son business actuel, le pari sur le métavers pourrait au contraire en ajouter une.
17 millions d'euros. C'est le montant que la Cnil irlandaise a retenu pour sanctionner Facebook pour une série d'infractions au RGPD. Les uns verront le verre à moitié plein, en constatant que Facebook, devenu Meta, a encore été sanctionné pour avoir enfreint le Règlement européen sur la protection des données.
La Data Protection Commission a infligé une amende de 17 millions d’euros à Meta Platforms Ireland Limited. Cette amende prononcée par la CNIL irlandaise fait suite à une série de douze notifications de violation de données reçues...
La guerre en Ukraine a des conséquences inattendues : Facebook laisse ses utilisateurs dans certains pays insulter les soldats russes et Vladimir Poutine, et proférer des menaces de mort, pourtant interdites sur le réseau social.
Le réseau social va rémunérer une centaine d’éditeurs de presse français pour afficher des titres d’actualités dans un nouvel onglet.
The problem is this: The company is facing a crisis of identity that it will struggle to buy, or copy, its way out of. It’s not the best social media app, nor is it the best platform for content. No one trusts the company, or its management, to do the right thing. Its image has been stained with the recent revelations of harming teenage kids. It wants to evolve, but it is terrible at doing so. Antitrust regulators are watching the company like a hawk, meaning a splashy acquisition is out of the question. Its track record of innovating its own products shows it won’t create its way out either. And the Metaverse, the vision that Zuckerberg is willing to bet his entire company on — his entire life on — is still some years out (some predict as many as 10 years), and the project is already bleeding billions of dollars and crashing the stock price, the one thing that keeps the company, and Zuckerberg himself, in the shareholder’s good books, despite the constant shit storm the company swirls around in.
Cela fait des années que la croissance des utilisateurs de Facebook ralentit, mais jamais le réseau social n’avait connu une perte. Un million, ce n’est pas beaucoup pour la plateforme, mais cela montre en réalité beaucoup de problèmes potentiels pour son avenir.
L’association chaperonnée par Facebook en charge du projet Diem va être démantelée. Ses actifs seront repris par la banque Silvergate, qui les rachète pour un montant d’environ 182 millions de dollars.
The face behind the Facebook papers tells how she became Mark Zuckerberg’s nightmare—and thinks people can still make a positive impact at the company.
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There's a thing that most people don't understand. Every other similarly powerful industry in the world, or even a general market in the world, is radically more transparent than Facebook is. It’s like there was a factory producing a widget, and around that factory, kids were getting cancer. A scientist could go and put up a detector and independently validate that there was pollution from the factory that was making those cancer cases. But with Facebook, most people aren't aware of the idea that we have no transparency into the system. They may understand subjectively that Facebook makes them feel bad [but they don’t have the data]. And not only do we not have transparency, but Facebook actively gaslights us and lies to us repeatedly. Facebook does not want us to see what happens; they don't want to give out even aggregate data. When they have given out some aggregate data, like the academic consortium a couple months ago, they literally gave false data.
Even with more transparency at a moderate level, we would have very different conversations. Facebook has lots of solutions—this is not an intractable problem. But they are all solutions that require sacrifices of slivers of profit. Does Facebook deserve to have 17 percent profit margins, or, heaven forbid, 12 percent profit margins? [Note: Meta’s most recent operating margin was 36 percent.] That conversation has distracted people. It's not a question of whether we have Facebook or not, but whether we deserve to have a Facebook that is safe. I totally understand that journalists need to be objective and fair. But I think sometimes we're getting lost in the forest because of the trees. I haven't seen reporting on that as much as I would have liked.