Alphabet, Amazon, Apple, ByteDance, Meta, Microsoft
These are the first 6 companies designated as ‘gatekeepers' under the Digital Markets Act.
They have 6 months to ensure their core platform services comply with our rules, including:
✔ Allowing users to unsubscribe and remove pre-installed services
✔ Allowing the download of alternative app stores
❌ Banning tracking outside of their services without consent
❌ Stopping ranking their products more favourably
Du point de vue du travail social, les pratiques de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft (GAFAM) apparaissent inconciliables avec la pratique éthique
Parcours boursiers très contrastés, avantages concurrentiels très différents, stratégies originales : la crise des valeurs technologiques révèle qu’Apple, Facebook, Amazon et Google sont certes les « géants de l’internet », mais qu’ils sont loin de partager les mêmes attributs permettant de les réunir sous un acronyme unique.
Les Gafam, multinationales du numérique comme Google ou Microsoft, prennent toujours plus de place dans les écoles et mettent la main sur les données personnelles des élèves et de leurs parents. Des alternatives s'appuyant sur des logiciels libres émergent grâce à l'initiative d'enseignants, de parents et de hackers.
Des publicités comportant des messages clairement faux sur les élections d’octobre ont été publiées par le réseau social, et ce, malgré de nombreux signaux qui auraient dû déclencher une alerte, dénonce l’ONG Global Witness.
Faire payer des fournisseurs de services comme YouTube « qui sur-sollicitent le réseau » ? Le sujet revient sur la scène. Défendue par le lobbying des opérateurs télécoms, mais aussi une partie de la classe politique jusqu’au sommet de la Commission européenne, l'idée est contestée sur fond d’atteinte à la neutralité du Net. Revue des forces en présence.
Apple, Google et Microsoft ont publié conjointement hier, journée mondiale du mot de passe, un communiqué affichant leur volonté d’en finir avec les mots de passe. Objectif, se débarrasser d’une mesure de protection considérée comme le maillon faible de la sécurité aujourd’hui, et promouvoir une authentification plus forte.
La Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’Union européenne ont trouvé un accord sur un nouveau règlement visant à imposer le respect de la concurrence aux services en ligne d’acteurs dominants.
Le règlement s'adresse aux Gatekeepers. 10 à 15 sociétés, quelques européennes.
Points saillants :
Obligation forte « d’interopérabilité » entre messageries
Store et moyens de paiements alternatifs sur iOS et Android
Notification de tout projet de rachat d'entreprise
Interdiction de traiter préférentiellement leurs services.
Défense des GAFAM
- Sécurité
- Risques pour l'innovation
Les entreprises auront 6 mois pour se mettre en conformité.
Les universités françaises sont-elles en capacité de se passer des outils des GAFAM ? Alors que le milieu universitaire est l’un des berceaux d’internet et des infrastructures physiques du réseau, les millions d’utilisateurs qu’elles brassent attirent les géants du numérique comme Google, Microsoft ou Zoom.
À Bruxelles, les géants du numérique mènent depuis plusieurs mois une importante entreprise de lobbying contre les réglementations de la publicité ciblée en ligne. Selon Die Zeit, ils auraient même monté un mouvement citoyen fictif, auquel aucun de ses prétendus militants ne se rappelle avoir adhéré.
La Commission européenne ouvre une enquête sur un accord passé entre les deux leaders de la publicité ciblée.
« Selon les détracteurs de Google, l’accord passé avec Facebook visait à empêcher l’entreprise de Mark Zuckerberg de rejoindre cette coalition des concurrents de Google. Et faussait le jeu. Facebook aurait été avantagé dans les enchères sur la plate-forme de Google : des informations supplémentaires sur les emplacements et un temps de réponse plus court, donc une forme d’avantage par rapport aux autres acquéreurs. »
Les grandes plateformes numériques sont au coeur d'enjeux géopolitiques puissants, avec des demandes contradictoires des parties prenantes : Russie, Ukraine, US et UE.
La guerre de l'information, notamment, se déroule sur tous les grands services numériques : Facebook, Twitter, Youtube, etc. D'un côté, la Russie demande à censurer les informations diffusées, de l'autre, les occidentaux veulent que les plateformes bloquent la propagande russe.
Firefox traverse une mauvaise pente, car il n'arrive pas à contenir l'hémorragie de ses utilisateurs vers ses concurrents principaux, à savoir Google Chrome et Safari.
Le web se dirige à nouveau vers des acteurs hégémoniques, et ce n'est bon pour personne. Le marché a besoin de variété, d'acteurs qui comptent sur les évolutions des standards du web, et il faut éviter la concentration de pouvoir.
Si vous voulez faire un geste militant facile, installez et utilisez Firefox !
Avec 243 milliards de dollars de bénéfices en 2021, Google, Apple, Facebook et Amazon disposent de moyens inédits pour poursuivre leur expansion.
Dans La Guerre de l’attention (L’Échappée, janvier 2022), Yves Marry et Florent Souillot décrivent l’émergence d’un «capitalisme attentionnel». À la manœuvre, les GAFAM qui cherchent coûte que coûte à s’approprier notre temps de cerveau disponible. Le pire étant que nous sommes complices dans cette affaire…
L’idée fait partie d’une liste de 15 propositions que la Fédération française des télécoms s’apprête à remettre aux candidats à la présidentielle.
The antitrust bill isn’t ‘whittled down to nothing.’ Yet.
Big Tech and its lobbyists have developed a simple message to combat the first major push toward real antitrust legislation: If you break us up, Americans will lose the services they’ve come to take for granted.
Plusieurs dirigeants de Google et de Meta, la maison mère de Facebook, sont visés par une plainte émanant de plusieurs États américains pour de supposées pratiques anticoncurrentielles. Un accord aurait été passé en 2018 entre les deux entités afin d’asseoir leur domination sur le marché de la publicité en ligne. Une coalition d’États emmenés par le Texas a déposé, vendredi, dans un tribunal de New York une nouvelle version du texte des poursuites initialement lancées contre Google en décembre 2020.
Dans un rapport consulté par « Le Point », une mission parlementaire propose de contraindre les plateformes numériques à communiquer leurs données.